Johanne Verdon - Parcours professionnel
Jeannine Ross: Johanne, plusieurs auditeurs qui écoutent régulièrement Santé en Direct aimeraient savoir qui est Johanne Verdon.
Johanne Verdon: Bien, Jeannine, ça fait 38 ans que j’évolue dans le domaine de la médecine alternative. À la fin des années soixante, j’ai débuté un cours de quatre ans à l’Institut Naturopathique du Québec alors affilié à une université américaine, l’University’s Susan B. Anthony, au Missouri. J’ai été diplômée en 1972 et j’ai reçu de ce même institut, en 1991, un doctorat Honoris Causa. Parallèlement à mon cours, j’ai fait un stage clinique de quatre ans, puis une thèse de fin d’étude. J’ai fait une étude clinique sur l’otite chez le nourrisson. Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le dictionnaire des médicaments (Québec-Amérique) de Serge Mongeau, médecin, et Marie-Claude Roy, pharmacienne. J’ai participé à des sessions de formation avec le Dr Jean Elmiger, m.d. de Suisse, très sensibilisé à l’approche des médecines alternatives. J’ai été mariée pendant 22 ans à un ex-étudiant en pharmacie de l’Université de Montréal. Nous nous sommes beaucoup apporté l’un l’autre. J’ai écrit plusieurs livres sur la santé, toujours avec cette vision globale de la santé qui me caractérise. J’ai eu pendant dix ans une école de naturopathie, l’Académie Naturopathique Johanne Verdon. Cette école offrait un cours de quatre ans, complété par une thèse de fin d’études. Plusieurs naturopathes ont été diplômés de cette école.
Jeannine Ross: C’est vraiment intéressant, Johanne. Mais vous êtes aussi diplômée en journalisme.
Johanne Verdon: Oui, de l’école Promedia. J’ai eu pour professeur Pierre Duffault et Alexandre Dumas, qui a été journaliste reporter pendant de nombreuses années pour Radio-Canada. J’ai travaillé pendant deux ans à la salle de nouvelles d’une station FM de Laval, sous la direction de Serge Turgeon, où je préparais moi-même mes bulletins de nouvelles et en faisait la lecture. Tout au long de ma carrière en médecine alternative, un autre volet a toujours été présent, celui du journalisme médico-alternatif.
Jeannine Ross: Et vos associations professionnelles?
Johanne Verdon: Je suis membre de l’ADNQ (Association des Diplômés en Naturopathie du Québec), de l’AIJPF (Association Professionnelle Internationale des Femmes Journalistes) et de l’Union des Artistes.
Jeannine Ross: Merci, Johanne Verdon, c’est un parcours vraiment très intéressant.
Johanne Verdon: Bien, Jeannine, ça fait 38 ans que j’évolue dans le domaine de la médecine alternative. À la fin des années soixante, j’ai débuté un cours de quatre ans à l’Institut Naturopathique du Québec alors affilié à une université américaine, l’University’s Susan B. Anthony, au Missouri. J’ai été diplômée en 1972 et j’ai reçu de ce même institut, en 1991, un doctorat Honoris Causa. Parallèlement à mon cours, j’ai fait un stage clinique de quatre ans, puis une thèse de fin d’étude. J’ai fait une étude clinique sur l’otite chez le nourrisson. Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le dictionnaire des médicaments (Québec-Amérique) de Serge Mongeau, médecin, et Marie-Claude Roy, pharmacienne. J’ai participé à des sessions de formation avec le Dr Jean Elmiger, m.d. de Suisse, très sensibilisé à l’approche des médecines alternatives. J’ai été mariée pendant 22 ans à un ex-étudiant en pharmacie de l’Université de Montréal. Nous nous sommes beaucoup apporté l’un l’autre. J’ai écrit plusieurs livres sur la santé, toujours avec cette vision globale de la santé qui me caractérise. J’ai eu pendant dix ans une école de naturopathie, l’Académie Naturopathique Johanne Verdon. Cette école offrait un cours de quatre ans, complété par une thèse de fin d’études. Plusieurs naturopathes ont été diplômés de cette école.
Jeannine Ross: C’est vraiment intéressant, Johanne. Mais vous êtes aussi diplômée en journalisme.
Johanne Verdon: Oui, de l’école Promedia. J’ai eu pour professeur Pierre Duffault et Alexandre Dumas, qui a été journaliste reporter pendant de nombreuses années pour Radio-Canada. J’ai travaillé pendant deux ans à la salle de nouvelles d’une station FM de Laval, sous la direction de Serge Turgeon, où je préparais moi-même mes bulletins de nouvelles et en faisait la lecture. Tout au long de ma carrière en médecine alternative, un autre volet a toujours été présent, celui du journalisme médico-alternatif.
Jeannine Ross: Et vos associations professionnelles?
Johanne Verdon: Je suis membre de l’ADNQ (Association des Diplômés en Naturopathie du Québec), de l’AIJPF (Association Professionnelle Internationale des Femmes Journalistes) et de l’Union des Artistes.
Jeannine Ross: Merci, Johanne Verdon, c’est un parcours vraiment très intéressant.